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mercredi 6 mars 2013

Petite histoire du soir pour le Club des Cinq



Un immense ciel bleu, peu de vent, des chants d'oiseaux au sommet de chaque pin et de chaque chêne.
La promenade de ce lundi aurait pu être paradisiaque si.......
.... si Némo-Zorro, furetant de droite et de gauche, n'avait   découvert, en différents endroits du maquis, une multitude incroyable de culots et de douilles abandonnés par des chasseurs peu scrupuleux et indifférents à la pollution qu'ils laissent derrière eux.
Pendant une demi-heure, Madame et moi n'entendîmes plus que plaintes et jérémiades concernant les dévoiements humains. Nous ne pouvions que donner raison au révolté mais que faire ? Ramasser ? Impossible, il y avait bien trop de déchets près de chaque affût.










"Un changement de direction et une descente dans la combe du Trignon le calmera" pensai-je naïvement. Rien n'y fit.

















Pour   changer les idées du   poilu écolo, une seule solution : le petit biscuit, récompense d'un bon rappel. Il n'y avait pas eu de rappel mais, au moins, cela nous permit de réécouter les chants d'oiseaux.










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