Pages

vendredi 7 août 2015

Oh !


Avec la sale manie k'ont les Français d'abréger de nombreux mots, lorsque j'ai vu cette inscription, je me suis posé  quelques questions : l'écrivain qui m'avait précédé dans ces toilettes publiques détestait-il les koncerts ou les konserves ? Les kondiments ou les konkombres ? Les konvertis ou les kontraventions ? Les kondoléances ou les kon...? Non quand même pas les kondoms sinon où partirions-nous ? La terre serait bientôt surpeuplée de kond ! 
Bah ! Qu'à cela ne tienne ! Nous sommes sur la bonne voie depuis pas mal de temps. L'habitude est prise !
Au sens premier du mot kond, une chose est certaine :  ce genre de braillement populaire transformé en tag   lance l'opprobre sur la moitié de l'espèce humaine et vous coupe toute envie de faire pipi en des lieux si peu accueillants . 


Mais.... il reste une question à résoudre : l'auteur a-t-il voulu écrire ABA ou ARA ? Celle-là, c'est la question qui empêche de dormir....

2 commentaires:

  1. Il y a de quoi devenir philosophe en fréquentant les toilettes publiques;)) On nous a appris que l'écriture était un moyen de communication...dans ce cas...elle nous plonge dans un abîme de réflexion ! Tâche de dormir là-dessus;) Tu n'as aucune prise sur la c.... Bêtise humaine!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Oserai-je dire que les toilettes publiques sont les lieux où l'on s'approche le plus des vérités humaines ?

      Supprimer