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vendredi 3 septembre 2021

Et si on parlait d'esclavage ... ?

 

 

 

L’ESCLAVAGE DES NOIRS PAR LES ARABES

Alors que le monde découvre que des esclaves d’Afrique noire sont vendus actuellement en Lybie, l’actualité du web ressort cette étude historique sur l’esclavage.

senegal, afrique

On nous parle souvent de la traite transatlantique mais jamais de la traite arabo-musulmane. Pourquoi ? Pourtant l’esclavage des noirs par les arabes est la pire, la plus longue, la plus diabolique et surtout la toute première institution négrière qui fut introduite, initiée, définie et mise en œuvre en Afrique noire. Pourquoi veut-on nous faire croire que les razzias, les kidnappings, les déportations et la mise en esclavage de nos ancêtres était le seul fait des européens ?
Pourquoi les arabo-musulmans répandent-ils partout l’idée selon laquelle: « avant leur invasion en Afrique du nord au 7ème siècle, nos ancêtres pratiquaient déjà l’esclavage entre eux ? »
Pourquoi refusent-ils systématiquement d’apporter la moindre preuve historique confirmant cela ? Sujet tabou. Beaucoup de prosélytes musulmans se permettent même de réécrire l’Histoire de l’esclavage des Noirs en pays d’islam en retranchant cyniquement la vérité historique afin de mieux la remplacer par des balivernes.
L’asservissement étant issue du mode de production eurasiatique et patriarcal, cette pratique barbare n’est arrivée qu’à partir de l’année 652, lorsque l’émir arabe Abdallah Ben Saïd et ses soldats envahiront et dévasteront l’Afrique du nord puis imposeront aux Nubiens (Sud de Égypte, Tchad, Soudan, Éthiopie) de leur livrer annuellement plusieurs centaines d’esclaves noirs. Ce fut là le point de départ de la première ponction humaine sur le continent africain.
A ce jour ni les européens ni les arabes n’ont jamais apporté la moindre preuve que les africains pratiquaient déjà l’esclavage avant que les arabes ne l’importent. Les arabes étaient les premiers a faire la traite des Noirs et les derniers à l’abolir (ils y étaient forcés). Rappelons que Mahomet, le prophète des arabes a acheté et vendu des esclaves durant toute sa « prophétie », au nom de son dieu. Comme l’islam est a l’image de leur prophète esclavagiste, il est normal de trouver des versets esclavagistes dans leur livre soit disant saint. En effet, le coran légalise et renforce cette pratique sans jamais condamner les tortionnaires et donne même une justification divine à cette barbarie.
L’arrivée de l’islam en Afrique noire a donc joué un rôle capital et néfaste dans l’asservissement et l’aliénation des peuples qui ont cédé aux arabes. Une des multiples conséquences de cette entreprise d’asservissement est le traitement inhumain qu’ils réservaient aux noirs, un traitement résultant naturellement des préjugés raciaux qui y prévalent depuis l’arrivée des aryens au moyen orient et en Afrique du nord.
Contrairement à la spiritualité africaine, la religion est un concept politique crée par les romains pour contrôler d’autres hommes ignorants de leur propre histoire. Dès lors, qu’on est sous l’emprise de ces dogmes on ne voit plus les injustices, les tortures, la misogynie, les mensonges historiques, les plagiats et les falsifications religieuses. La naissance de l’islam a donc permis aux arabes de légaliser toutes leurs abominations culturelles dont le commerce des êtres humains institutionnalisé à grande échelle avec l’approbation de leur religion. En fait, le coran permet la mise en esclavage des non musulmans, le vol de leur terre comme butin et des guerres d’agression contre les peuples qui n’adhèrent pas à leur culture hégémonique. Cela explique le nombre incroyable de guerres prétendument saintes (djihad en arabe). Pas besoin d’être un génie pour comprendre que n’y a absolument rien de saint dans leur banditisme, qui visent essentiellement à piller, massacrer, violer, voler des territoires et soumettre des populations à la religion arabe par la violence ou la ruse. Aujourd’hui, la majorité des noirs hypnotisés par cette religion se vantent même du fait que le dieu des arabes les a ordonné de bien traiter les esclaves. Mais pour bien traiter un esclave il faut au préalable le posséder.
Mais alors comment ce dieu (soit disant de paix), a-t-il pu autoriser que quiconque puissent réduire des peuples en esclavage, comme s’ils étaient des objets ou des animaux domestiques ? Et qu’il suffit de bien les traiter pour qu’on oublie la monstruosité de cette pratique. Le comble est qu’encore aujourd’hui les « savants arabes » regrettent l’abolition de l’esclavage, car à les écouter, c’était une source d’enrichissement, un moyen de posséder des femmes esclaves et de gagner le paradis !
Pour le musulman (modéré ou non), condamner la pratique de l’esclavage revient à aller à l’encontre de la parole de son dieu. Ce pan de l’histoire pose surtout un grand problème aux autres intellectuels musulmans et honnêtes qui pour éviter toutes représailles de leur communauté, préfèrent se plonger dans le silence. N’oublions pas que pour discipliner, conditionner et enrôler les esclaves dans la chasse aux noirs animistes, les arabes leurs faisaient un endoctrinement religieux dès le bas âge afin qu’ils considèrent cette pratique comme légitime et divine. C’est toujours grâce à cette endoctrinement qu’ils réussissent encore, de façon stupéfiante à nier, tromper, désinformer, déformer, occulter et falsifier à la fois la réalité, les écrits de leurs propres savants et l’histoire sur une période de près de 14 siècles.
Ce qu’il y a de plus particulièrement tragique, c’est que la plupart des noirs d’Afrique, d’Europe, des Caraïbes et des Amériques, ignorent totalement ces faits. N’oublions que les noirs sont extrêmement mal vus dans le monde arabe. Éduqués dans la haine et le mépris des noirs, des crimes odieux sont régulièrement commis par la police et la population arabe à leur encontre. Certains noirs aliénés par l’islam trouvent même des explications « coraniques » à ça. Cependant chez les peuples Arabes, le racisme anti-Noirs plonge ses racines très loin dans l’histoire. Nier ce fait, c’est leur fournir des excuses.
L’esclavage n’a pas été créé par les africains, il nous a été imposé au fil des siècles par les différents envahisseurs. Ce mode de production de culture indo-européenne est arrivé en Afrique par les tribus nomades venues d’Asie centrale (leur point de départ). La langue arabe est l’une des seules au monde à disposer autant de mots désignant un esclave. Dans cette culture « un esclave » est souvent synonyme à « un noir »
Le vocabulaire arabe est particulièrement riche pour désigner ces différentes catégories d’esclaves : ‘abd, ‘abîd, riqq, raqîq, jâriya, jawârî (réservé aux esclaves femmes), ghulâm (réservés aux jeunes esclaves hommes), raqba (mot coranique qui signifie « nuque » ou « tête »), zandj ou aswad (noir, venant à signifier « esclave ») , khaddam (serviteur domestique), etc. L’expression la plus générique qui les désigne toutes prend source dans le langage imagé du Coran : ma malakat aymanoukoum (« ce que votre droite a possédé »).
? Le mot arabe « adb » ou « aabd » (???), signifiait esclave ; et le mot « abid » ou « aabid » (????) signifiait esclaves au pluriel.
Par exemple, Le mot arabe « Abdallah » signifie littéralement « l’esclave d’Allah»,
Mais partir du VIIIe siècle le mot « aabd » (???), est devenu synonyme de « Noir »
La langue Arabe nous apprend aussi que le mot « abid » est devenu synonyme de « Noirs (au pluriel) ».
Au Moyen Age, le mot arabe « abid » désignait déjà un esclave noir, le mot «mamelouk » désignait un esclave blanc.
? Quant au terme « Zanj », « Zandj », « Zenj », ou « Zendj », voire « Zinj » désignait de façon péjorative les Noirs, avec une connotation raciale officielle que l’on retrouve dans les textes et discours racialistes des auteurs arabes. Selon la translittération, ce terme vient du persan Zangi-bar (?????? ) signifiant depuis l’Antiquité, la « Côte des Noirs » (c’est aussi l’origine du nom Zanzibar).
? Le mot « kafir » ( ????), « Kaffir », « Keffir », « Caffre » ou « cafre » ; pluriel : (?????) « kuffar » signifiant « infidèle » ou « mécréant » désigne aussi « les Noirs » de l’intérieur et du Sud de l’Afrique.
De plus, sur les iles de l’océan indien (Madagascar, Réunion, ile Maurice …) le terme « Cafres » désigne tout individu au phénotype africains.
Cependant, il est important de noter que beaucoup de Noirs utilisent le terme « cafrine » avec fierté pour désigner une jolie jeune femme d’origine africaine, à l’instar du mot « négresse », qui partit d’une connotation péjorative et raciste, a été récupéré par les noirs, pour se nommer avec une certaine affection. Terme qui n’a pas du tout la même connotation dans la bouche d’un arabe ou d’un blanc.
Alors, pourquoi le Coran contient il autant de terme qui associent noir à l’esclavage ? L’ont ils aboli, comme on l’entend souvent ? Si tel est le cas, pourquoi l’esclavage a-t-il continué en terre d’islam pendant et après l’invention de cette religion ?
ESCLAVAGE ET GÉNOCIDE EN TERRE D’ISLAM
Si la traite transatlantique a été qualifié à juste titre comme un crime contre l’humanité, ce qu’il faut dire c’est que celle pratiquée par les Arabo-musulmans fut un véritable génocide parce que le sort qui était réservé aux captifs Africains apparaît aujourd’hui clairement comme une extinction ethnique programmée par assassinat et par castration massive. On sait aujourd’hui que les noirs capturés par les arabes ont pratiquement tous disparus en dépit de l’immense masse d’Africains déportés dans les pays dans le monde arabe. D’où l’utilisation du terme génocide. Les trois quarts des captifs, enchaînés, ne survivaient pas aux traitements inhumains qui leur étaient infligés, comme en témoignent encore aujourd’hui les longues lignes d’ossements humains qui jalonnent les pistes qu’ils empruntaient.
33 Millions de déportés après castration massive il ne reste qu’une poignée aujourd’hui en terre d’Islam, alors que de l’autre côté (transatlantique) nous avons plus de 100 Millions d’individus descendants d’Africains qui peuplent le continent Américain des États Unis jusqu’au Brésil en passant par les îles de la Caraïbe. Dans les pays Arabes on ne trouve presque plus. Les déportés ont été assassinés ou castrés par des Arabes, c’est donc un génocide.
La déportations des noirs par les Arabo-musulmans se pratiquait au Sahara, sur les cotes de la mer Rouge jusqu’à l’Océan Indien.
Rien qu’au Sahara, plus de 19 Millions de captifs (Noirs) ont été transportés dans les conditions inhumaines dont plusieurs Millions ont péris ou alors sont restés en bordure du désert. Pour ce qui est de la traite Orientale qui s’est déroulée dans les régions proche de la mer rouge et de l’océan indien on évalue à plus de 13 Millions le nombre de victimes. Les historiens modernes nous ont confirmé qu’au moins 80% des noirs capturés par les négriers musulmans, mourrait avant d’atteindre les marchés d’esclaves. De plus Lors des razzias, pour capturer un esclave deux à trois individus étaient tués pour un Noir capturé. Lorsqu’on additionne le nombre de tués et de vendus dans les marchés d’esclaves, le total des victimes africaines, dépasse sensiblement les 100 millions de personnes en 14 siècles. Le bilan est donc très lourd. Dans Alerte sous les tropiques, Cheikh Anta Diop précise que:
« Après l’occident, c’est la deuxième force qui cherche à diriger le Monde Noir. Depuis le VIIe siècle, le centre de gravité du Monde Arabe s’est déplacé lentement d’Asie en Afrique. Bien qu’il n’existe aucune unité naturelle en dehors de la culture , entre l’Afrique du Nord , la Lybie et l’Egypte d’une part , et les États arabes du Proche-Orient de l’autre , il ne s’en est pas moins créé une ligue arabe englobant tous ces pays. Aussi longtemps que les Arabes qui vivent en Afrique se sentiront plus attachés à leurs frères de race du Proche-Orient qu’au reste de l’Afrique Noire, nous aurons le devoir et le droit de nous défendre devant leur attitude raciste.»
(Cheikh Anta Diop, Alerte sous les tropiques, p. 95)
INVASIONS, RAZZIAS ET DÉPORTATIONS
Les étapes du blanchiment des populations de l’Égypte, de la Libye, de la Tunisie de l’Algérie et du Maroc, initialement noirs, se sont opérées à l’occasion de multiples invasions des peuples eurasiatiques et indo-européens venus d’Asie centrale. Les « Temehou » (indo-européens) et « les Amou » (eurasiatiques) sont arrivés au Nord de l’Afrique vers 1800 avant J.C (invasions des « peuples de la mer » et des Hyksos). Vers -1200, viendront d’autres peuples envahisseurs au teint pâle. Ils seront repoussés vers la Libye, ce qui y a accentuera l’apport de population blanche. Puis d’autres vagues viendront. De lors l’Afrique du nord succombera aux invasions des populations blanches : assyrienne, puis perse (iranienne), grecques, romaines, arabes, turques… Ces envahisseurs successifs pousseront les Noirs autochtones vers les régions beaucoup plus au sud. Ceux qui resteront, se feront assassiner ou se métisseront. Après la mort du prophète des arabes, ses sympathisants sèmeront la mort sur toutes les rives méridionales et orientales de la Méditerranée. Multipliant les attaques sanguinaires et les pillages.
Au 7eme siècle, Les arabes devenus maitres en Égypte, le gouverneur Amru envoie le génér
al arabe Abdullah ibn Sa’ad ibn Abi as-Sarh à la tête d’une première expédition guerrière contre les noirs de Nubie en 642, sans grands résultats.
En 651 et 652, il mena plusieurs expéditions en Nubie. Il assiégea la ville de Dongola. Tous les temples et monument seront détruits. Au vu des pertes humaines, pour faire cesser les razzias, le général arabe Abdullah ibn Sa’ad ibn Abi as-Sarh impose au roi Nubien « Khalidurat » un bakht (accord), conclu en 652, l’obligeant à livrer 360 esclaves par an. Dès lors la déportation des noirs ne va cesser de s’amplifier.
Mais c’est à partir du 8 e siècle de notre ère, que les Arabes entameront sérieusement la dévastation des sociétés africaines situées sur les côtes orientales du continent.
Au 10e siècle, des Persans venus de Chiraz s’installent à Mombassa, sur la côte africaine, et aux Comores. Ils s’emparent également l’île de Pemba et de sa voisine, de l’île de Zanzibar «La côte des Noirs». Telle est la signification en arabe du nom de Zanzibar.
Zanzibar deviendra l’un des plus importants marchés d’esclaves noirs du monde musulman.
Après leur capture par des noirs islamisés pour le compte des arabes, les captifs africains seront transportés depuis le continent sur des voiliers où sont parqués jusqu’à 200 adolescents accroupis. Certains arrivent de Madagascar, d’autres au sud de Zanzibar. Les métis arabo-africains serviront d’intermédiaires aux marchands d’esclaves.
Le 7 juillet 969 à Fustât, lors de la conquête de l’Égypte, sur ordre du calife al-Mu‘izz, le général Jawhar al-Siqilli et son armée extermineront la quasi-totalité des noirs de cette région (hommes libres, esclaves, soldats, femmes et enfants), soit plusieurs centaines de milliers de personnes. Ce qui provoquera l’exode massive des autochtones survivants vers le sud du pays.
Ces nouveaux venus fonderont, près de cette ville, une nouvelle capitale qu’ils nommèrent al-Qâhira (Le Caire). Le Caire deviendra la capitale des Fatimides.
Au XIe siècle, le trafic caravanier augmente et certains chefs de tribus africaines se convertissent.
En 1077, Abu Bakr Ibn Omar lance une expédition sanguinaire au Ghana. Mais les Almoravides du Maroc n’arrivent pas à s’installer durablement.
En 1222, Sundjata Keïta abolit l’esclavage en créant l’Empire du Mali (Charte du Manden).
Au 10eme, 11eme et 12eme siècle, les Arabes s’installeront sur la côte éthiopienne, fondant quelques comptoirs de traite négrière (archipel des Dahlaks, Aydab et Souakim par exemple) puis pénètreront davantage dans les terres et installeront de petits sultanats en Éthiopie : comme selui d’Adal. Au 15eme siècle ces sultanats disparurent.
Au 16eme siècle, les Turcs s’installent en Égypte et lancent leur raids à nouveau contre les Ethiopiens et les Soudanais.
A la même époque, les expéditions sanguinaires menées par les gouverneurs d’Alger se multiplient dans le Sahara central. L’effondrement de l’empire Songhaï entraînera une chasse aux esclaves dans toutes les régions du Niger.
A la fin du 17ème siècle, la dynastie marocaine des Alaouites – celle qui règne encore au Maroc de nos jours – misa sur l’enrôlement d’esclaves-soldats africains qu’elle acheta en masse sous le sultan Moulay Ismail. Qui sont ces esclaves ? Des habitants enrôlés de force, originaires des territoires d’Afrique noire conquis par les Marocains depuis 1591. On remarquera que Moulay Ismail voulant des soldats, ne réduisit pas en esclavage les populations blanches de son vaste empire. Il fait un choix racial et se dirige naturellement vers les territoires conquis.
On trouvera dans cette armée des Négro-africains purement razziés et achetés à des musulmans noirs. Parmi ceux-ci, les Peuls travaillant sur commandes dans la zone nigérienne et fournissent, à leurs coreligionnaires à peau blanche des esclaves noirs.
De 1700 à 1880 les pays d’Afrique du Nord ont asservis un nombre affolant d’esclaves noirs : 65 000 en Algérie ; 100 000 en Tunisie ; 400 000 en Libye ; 515 000 au Maroc et 800 000 en Égypte. Au Maghreb les autorités coloniales françaises toléreront la continuité de la traite arabe même après 1848.
Au 19e siècle, pour lequel nous trouvons de nombreux archives, 1 200 000 esclaves furent emmenés via le Sahara jusqu’au Moyen-Orient, 450 000 de plus par la Mer Rouge, et 442 000 par les ports de la côte d’Afrique Orientale.
Cela fait un total de plus de 2 millions d’esclaves noirs pour le seul 19e siècle.
C’est au 19ème siècle, que les Arabes d’Oman installés à Zanzibar, usèrent de tactiques consistant à visiter une région, y semaient la discorde entre les différents chefs, et ensuite attendaient que le vainqueur lui livre ses captifs comme esclaves. Ils introduisirent des armes à feu qu’ils échangèrent contre des esclaves et de l’ivoire en favorisant tels clans par rapport à un autre.
En 1920, le dernier marché aux esclaves du Maghreb ferme au Maroc par les Français lors de l’instauration du Protectorat.
LE RACISME ANTI-NOIR DES INTELLECTUELS ARABES
Les arabes détestent les noirs, c’est un fait. Au Maghreb les crimes odieux et gratuits contre les ressortissants africains sont quotidiens.
Au Moyen Âge, le racisme des Arabes à l’égard des Noirs, en particulier des Noirs non musulmans, fondé sur le mythe de la malédiction de Cham, le père de Canaan, prononcée par Noé (un blanc), servit de prétexte aux razzias négrières et à l’esclavage, qui, selon eux, s’appliquaient aux Noirs, descendants de Cham qui avait vu Noé nu lors de son ivresse (Histoire extraite de la Bible). Les Noirs étaient donc considérés comme « inférieurs » et « voués » à l’esclavage. Les plus grands auteurs arabes les comparaient à des animaux
Au Xe siècle, le poète Al-Mustanabbî méprisait le gouverneur égyptien Abu al-Misk Kafur à cause de la couleur de sa peau. Il est pourtant considéré comme le plus grand poète arabe de tous les temps, et celui qui a pu au mieux maîtriser la langue arabe et ses rouages. Sur wikipédia, sa b
iographie dit « qu’Il est connu pour sa grande intelligence ». Si haïr des hommes en raison de leur taux de mélanine est un signe d’intelligence, les arabes définissent donc le racisme comme un signe d’intelligence. Kafur était l’administrateur de l’Égypte et de la Syrie, tant pour les finances que pour le personnel. Bien qu’il fût un excellent administrateur, il cristallisa une haine certaine au sein des hommes de lettres qui ne supportaient pas d’être gouvernés par un noir. C’est ainsi que le poète al-Mutanabbi vouait une haine féroce à Kafur.
ibn AL-H?USAYN al-MUTANABBI (915 – 965)
Poète arabe
Ainsi peut-on lire sous sa plume :
« Pour qu’un esclave pervers assassine son maître ou le trahisse, faut-il le former en Égypte ? Là-bas, l’eunuque est devenu le chef des esclaves en cavale, l’homme libre est asservi ; on obéit à l’esclave.
L’esclave n’est pas un frère pour l’homme libre et pieux même s’il est né dans les habits d’homme libre. N’achète pas un esclave sans acheter une trique car les esclaves sont infects et bons à rien. Jamais je n’aurais pensé vivre pour voir le jour où un chien me ferait du mal et en serait loué. Pas plus que je n’imaginais voir disparaître les hommes dignes de ce nom et subsister l’image du père de la générosité et voir ce nègre avec sa lèvre percée de chameau obéi par ces lâches mercenaires
Qui a jamais enseigné la noblesse à ce nègre eunuque ? Sa parentèle « blanche » ou ses royaux ancêtres ? Ou son oreille qui saigne dans les mains du négrier, ou sa valeur, car pour deux sous on le jetterait ? Le misérable Kafur est le plus méritant des mal-nés ; il faut l’excuser compte tenu de toute bassesse – mais une excuse est parfois un reproche – Et s’il en est ainsi [c’est] parce que les étalons blancs sont incapables de noblesse, alors que dire d’eunuques noirs ? »
Dans un autre poème, al-Mutanabbi s’en prend encore à Kafur mais cette fois il insiste clairement sur sa race :
« la moralité de l’esclave, noir est limité par ses dents et son sexe puant »
Pour Saïd ben Ahmad Saïd, la couleur de peau des hommes, leurs mœurs, leurs croyances dépendent du climat.
Saïd BEN AHMAD SAÏD (1029-1070)
Historien arabe
« Dans les pays des Noirs l’air est brûlant et le climat extérieur subtil. Ainsi le tempérament des Sûdans devient-il ardent et leurs humeurs s’échauffent ; c’est aussi pourquoi ils sont noirs de couleur et leurs cheveux crépus. Pour cette raison sont anéantis tout équilibre des jugements et toute sûreté dans les appréciations. En eux, c’est la légèreté qui l’emporte et la stupidité et l’ignorance qui dominent ».
Certains savants n’hésitent pas à colporter des fables et légendes sur les africains. Pour les arabes, l’Afrique profonde est une terre étrange, remplie de merveilles et de monstres.
Abu HAMID (1080-1170)
Poète arabe
Dans un poème il raconte que dans le désert du Maghreb vit :
« Un peuple de la descendance d’Adam. Ce ne sont que des femmes. Il n’y a aucun homme parmi elles et aucune créature de sexe mâle ne vit sur cette terre. Ces femmes vont se plonger dans une certaine eau et deviennent enceinte. Chaque femme donne naissance à une fille, jamais à un fils ».
Al-DIMESHKRI (début du XIVe siècle)
Philosophe arabe
Affirme que la couleur des Noirs est due au soleil qui :
« les brûle comme un feu et rend leur cerveau humide, leur intelligence faible » .. « Leur mentalité est proche de celle des animaux ».
Au 14ème siècle déjà des érudits Arabes comme Ibn Khaldoun (de son nom complet Abou Zeid Abd) qui est toujours considéré comme le plus grand savant Arabe de son époque, avançait l’idée selon laquelle les Noirs appartiennent à la race des animaux et devaient être toujours traité comme des sous-hommes. Il prétendait que le seul peuple qui était adapté à l’esclavage était des Nègres à raison d’un degré inférieur d’humanité et que leur place était plus proche du stade animal. Devant ces inepties il faut dire qu’aucune voie sérieuse dans le monde Arabe ne s’est jamais levée pour défendre la cause des Noirs. Jusqu’aujourd’hui la quasi-totalité des intellectuels arabes refusent toute remise. Ces jugements racistes sont récurrents dans les œuvres des historiens et des géographes arabes. Ainsi, Ibn Khaldoun assimilait les noirs à des animaux de la vile espèce.
Ibn KHALDOUN (1332-1406),
Historien et philosophe Arabo-musulman
« Au sud de ce Nil existe un peuple noir que l’on désigne par le nom de Lemlem. Ce sont des païens qui portent des stigmates sur leurs visages et sur leurs tempes. Les habitants de Ghana et de Tekrour font des incursions dans le territoire de ce peuple pour faire des prisonniers. Les marchands auxquels ils vendent leurs captifs les conduisent dans le Maghreb, pays dont la plupart des esclaves appartiennent à cette race nègre. Au delà du pays des Lemlem, dans la direction du sud, on rencontre une population peu considérable; les hommes qui la composent ressemblent plutôt à des animaux sauvages qu’à des êtres raisonnables. Ils habitent les marécages boisés et les cavernes; leur nourriture consiste en herbes et en graines qui n’ont subi aucune préparation; quelquefois même ils se dévorent les uns les autres : aussi ne méritent-ils pas d’être comptés parmi les hommes. »
(Prolégomènes) éd. Imprimerie impériale, 1863, tome 1, p. 115
«En outre, leurs mœurs se rapprochent beaucoup de celles des animaux brutes : on raconte que la plupart des noirs qui occupent le premier climat demeurent dans des cavernes et des forêts marécageuses, se nourrissant d’herbes, vivant dans un sauvage isolement et se dévorant les uns les autres. Il en est de même des Esclavons. Cette barbarie de mœurs tient à ce que ces peuples, vivant dans des pays très éloignés
de la région tempérée, deviennent, par constitution et par caractère, semblables à des bêtes féroces ; et, plus leurs habitudes se rapprochent de celles des animaux, plus ils perdent les qualités distinctives de l’humanité. Il en est de même sous le rapport des principes religieux : ils ignorent ce que c’est que la mission d’un prophète et n’obéissent à aucune loi, à l’exception, toutefois, d’un bien petit nombre d’entre eux, qui demeurent dans le voisinage des pays tempérés. »
(Prolégomènes) éd. Imprimerie impériale, pages 211
«Nous avons tous remarqué que le caractère des Nègres se compose, en général, de légèreté, de pétulance et d’une vive gaieté : aussi les voit on se livrer à la danse chaque fois qu’ils en trouvent la moindre occasion ; de sorte que, partout, ils ont une réputation de folie. »
(Prolégomènes) éd. Imprimerie impériale, pages 214
«Comme les Nègres habitent un climat chaud, que la chaleur prédomine sur leur tempérament, et que, d’après le principe de leur être, la chaleur de leurs esprits doit être en rapport direct avec celle de leurs corps et de leur climat, il en résulte que ces esprits, comparés à ceux des peuples du quatrième climat, sont extrêmement échauffés, se dilatent bien plus aisément, éprouvent un sentiment plus rapide de joie et de plaisir, et un degré d’expansion plus considérable : ce qui a pour résultat l’étourderie. »
(Prolégomènes) éd. Imprimerie impériale, pages 214 – 215
« Masoudi avait entrepris de rechercher la cause qui produit, chez les Nègres, cette légèreté d’esprit, cette étourderie et ce penchant extrême à la gaieté ; mais, pour toute solution, il ne rapporte qu’une parole de Galien et de Yacoub Ibn Ishac El-Kindi , d’après laquelle ce caractère tient à une faiblesse du cerveau, d’où proviendrait une faiblesse d’intelligence »
(Prolégomènes) éd. Imprimerie impériale, pages 216
« Il est vrai que la plupart des nègres s’habituent facilement à la servitude ; mais cette disposition résulte, ainsi que nous l’avons dit ailleurs, d’une infériorité d’organisation qui les rapproche des animaux brutes. D’autres hommes ont pu consentir à entrer dans un état de servitude, mais cela a été avec l’espoir d’atteindre aux honneurs, aux richesses et à la puissance. »
(Prolégomènes) éd. Imprimerie impériale, pages 312
« Les nations nègres sont en règle générale dociles à l’esclavage, parce qu’ils ont des attributs tout à fait voisins à ceux d’animaux stupides. »
« Les seuls peuples à accepter vraiment l’esclavage sans espoir de retour sont les nègres, en raison d’un degré inférieur d’humanité, leur place étant plus proche du stade de l’animal »
À la même période, le lettré égyptien Al-Abshibi écrivait :
« Quand il [le Noir] a faim, il vole et lorsqu’il est rassasié, il fornique »
Bien évidemment que l’opinion de ces penseurs faisait autorité et ont même finit par être adopté par la plupart des nations Arabo-musulmane jusqu’à très récemment. Ce qui explique le traitement inhumain que subissent les noirs du Maghreb. Durant les razzias et l’implantation arabe, les mutilations généralisées des captifs étaient acceptés, ce qui explique aussi aujourd’hui pourquoi ils ont disparu en Turquie, en Iran, en Irak, au Yémen, en Égypte. Ils restent très peu de noirs en Arabie Saoudite et en Afrique du Nord. Et le peu qui reste ne sont même pas bien vu dans leur propre pays.
En 1930, lors d’un séjour en Égypte, l’aventurier, journaliste, grand reporter et romancier français Joseph Kessel, fait la connaissance de trafiquants d’esclaves. Étant devenu journaliste, dans un ouvrage volumineux (934 pages) il nous livre des anecdotes.
JOSEPH KESSEL (1898 – 1979)
Aventurier, grand reporter et romancier français
« Au cours de ses pérégrinations dans la ville à la recherche de Saïd, que personne ne semblait connaître, Kessel accumula les preuves des mauvais traitements infligés aux esclaves. Il entendit les cris déchirants d’un jeune garçon battu à mort pour avoir volé à son maître une demi-bouteille de tetch (Boisson nationale éthiopienne), il vit un homme et une femme pendus par les pieds au-dessus d’un feu où le maître jetait à poignée du piment rouge qui leur brûlait yeux et poumons… »
(p. 359)
« Tandis qu’ils parcouraient les ruelles du village [… ], Saïd révéla au journaliste français comment il se procurait les esclaves :
– J’ai deux moyens. Quand un village est trop pauvre ou son chef trop avare pour payer l’impôt, il s’adresse à moi. Je donne l’argent et je prends des esclaves. L’autre moyen est d’avoir des chasseurs courageux. Quand j’ai le nombre de têtes suffisant, je les rassemble dans un entrepôt comme celui-ci.
Ils étaient arrivés dans une cour où quelques planches traînaient par terre. Saïd les souleva et Kessel, en se penchant sur le trou profond qu’elles masquaient, vit quatre femmes endormies. Dans une cave voisine, gardés par un convoyeur au visage farouche, six esclaves étaient étendus. Dans la suivante, ils étaient trois. »
(p.362-363).
« Au crépuscule devant une vallée miraculeuse où serpentait un petit cours d’eau, l’herbe y était grasse, les bouquets d’arbres verdoyants. Sur le versant opposé, de minuscules silhouettes de femmes conduisaient un troupeau tintinnabulant du pâturage vers quelque hameau perdu dans la montagne. Incapable de communiquer avec Sélim, qui parlait un idiome inconnu, Kessel renonça à lui demander de quel animal il préparait l’affût. […] Jef se sentait plein d’admiration pour ce jeune chasseur assez habile pour affronter un animal, seulement armé d’un poignard. […]
Au réveil, les quatre hommes virent Sélim à plat ventre à l’entrée du couloir étroit. Tel un jaguar, il épiait, les muscles immobiles, les yeux rivés au sentier, la main crispée sur un morceau de coto
nnade. Comme la veille au soir les clochettes du troupeau tintèrent faiblement… leur bruit se rapprocha… des bœufs puis des chèvres passèrent près du buisson d’épineux… et Sélim bondit.
La fillette qui suivait le troupeau n’avait pas eu le temps de pousser un cri. Bâillonnée, entravée par la cotonnade, elle n’était qu’un mince paquet sans défense sur l’épaule de Sélim qui gravissait la sente avec l’agilité d’un chamois»
(p.363-364)
DANS L’ISLAM
LE CORAN AUTORISE AUX MUSULMANS D’AVOIR DES ESCLAVES
Si l’islam interdit l’esclavagisme comme le prétendent les falsificateurs, pourquoi les pays arabo-musulmans ont-ils attendu le 20ème siècle avant de l’abolir officiellement. Pourquoi attendre 14 siècles pour y mettre un terme, si leur religion l’interdit. Rappelons que le marché aux esclaves était un bizness très lucratif en Algérie, au Maroc, en Tunisie, en Libye et au moyen orient. Même la Mecque (considéré comme ville sainte pour les arabes) disposait il y a pas si longtemps de plusieurs marchés aux esclaves célèbres. N’y a-t-il pas là une contradiction ?
La jurisprudence islamique n’a jamais interdit la mise en esclavage, l’achat et la vente d’êtres humains. Bien au contraire, elle légalise et légifère dans les faits, invoquant même une volonté divine.
Rappelons qu’avant la création de l’islam, au moyen orient les peuples eurasiatiques réduisaient déjà hommes, femmes et enfants des tribus voisines en esclavage.
Malgré tout, Mahomet (prophète des arabes), nous raconte que son dieu lui aurait donné le droit (à lui et ses compères) de tuer, torturer, mutiler et mettre en esclavage quiconque refuseraient d’abandonner sa culture au profit de l’Islam. Le Mahomet que les noirs islamisés considèrent comme un messie, avait lui-même de nombreux esclaves dont deux femmes très connues : Safia, Rayhana et Maria la copte avec qui il aura des relations sexuelles. Ibn Khatir nous dit même que durant toute sa vie Mahomet possédait plus de 25 femmes esclaves.
Le Coran et les Hadiths contiennent une multitude de versets qui prouvent que l’islam n’a jamais abolit l’esclavage. Ces versets contredisent totalement les arabo-musulmans et les noirs islamisés qui répètent sans cesse l’idée selon laquelle le prophète des arabes aurait condamné l’esclavage. Pourtant le livre fondateur de l’islam évoque l’esclavage dans pas moins de 30 versets sans jamais émettre de condamnation formellement.
Sourate 2 – Verset 178
« ô les croyants ! On vous a prescrit le talion au sujet des tués : homme libre pour homme libre, esclave pour esclave, femme pour femme. Mais celui à qui son frère aura pardonné en quelque façon doit faire face à une requête convenable et doit payer des dommages de bonne grâce. Ceci est un allégement de la part de votre Seigneur et une miséricorde. Donc, quiconque après cela transgresse, aura un châtiment douloureux. »
Sourate 4, Verset 3 :
« Épousez comme il vous plaira, deux, trois ou quatre femmes, parmi les femmes qui vous plaisent, mais, si vous craignez de n’être pas justes avec celles-ci, alors une seule, ou des captives que vous possédez. »
Sourate 4, Verset 24.
« Il vous est aussi interdit d’épouser des femmes déjà mariées, à moins qu’elles ne soient vos captives de guerre. Telles sont les prescriptions du Seigneur. »
Sourate 4 verset 24 25.
« Et quiconque parmi vous n’a pas les moyens pour épouser des femmes libres (non esclaves) croyantes, eh bien (il peut épouser) une femme parmi celles de vos esclaves croyantes. Dieu connaît mieux votre foi, car vous êtes les uns des autres (de la même religion). Et épousez-les avec l’autorisation de leurs maîtres (Waliy) et donnez-leur une dote convenable; (épousez-les) étant vertueuses et non pas livrées à la débauche ni ayant des amants clandestins. Si, une fois engagées dans le mariage, elles commettent l’adultère, elles reçoivent la moitié du châtiment qui revient aux femmes libres (non esclaves) mariées. Ceci est autorisé à celui d’entre vous qui craint la débauche; mais ce serait mieux pour vous d’être endurant. Et Dieu est pardonneur et Miséricordieux »
Sourate 4, verset 28 :
« Il vous est défendu d’épouser des femmes mariées, excepté celles qui seraient tombées entre vos mains comme esclaves. Telle est la loi de Dieu. Il vous est permis du reste de vous procurer avec de l’argent des épouses que vous maintiendrez dans les bonnes mœurs et en évitant la débauche. »
Sourate 4, Verset 36 :
« Adorez Dieu ! Ne lui associez rien !
Vous devez user de bonté envers vos parents, vos proches, les orphelins, les pauvres, le client qui est votre allié et celui qui est étranger ; le compagnon qui est proche de vous, les voyageurs et les esclaves. Dieu n’aime pas celui qui est insolent et plein de gloriole »
Sourate 16 (Les abeilles) – Versets 71
« Dieu a favorisé certains d’entre vous, plus que d’autres, dans la répartition de ses dons.
Que ceux qui ont été favorisés ne reversent pas ce qui leur a été accordé à leurs esclaves, au point que ceux-ci deviennent leurs égaux. »
Sourate 16, Verset 75
« Dieu propose en parabole un serviteur réduit à l’esclavage et dénué de tout pouvoir, et un homme libre à qui Nous avons accordé d’amples ressources dont il use en secret et en public. Ces deux hommes sont-ils égaux? Non, louange à Dieu ! »
Sourate 23, Verset 5-7:
« Ceux qui préservent leurs sexes (de tout rapport), si ce n’est qu’avec leurs épouses ou les esclaves qu’ils possèdent, car là vraiment on ne peut les blâmer ; alors que ceux qui cherche
nt au-delà de ces limites sont des transgresseurs. »
Sourate 23, versets 1 à 9:
« Bienheureux, en vérité, sont les croyants qui prient avec humilité, qui dédaignent toute futilité, qui s’acquittent de la Zakât, qui s’abstiennent de tout rapport charnel, sauf avec leurs épouses ou leurs esclaves, en quoi ils ne sont pas à blâmer, car seuls sont coupables de transgression ceux qui recherchent d’autres unions, bienheureux sont ceux qui respectent les dépôts qui leur sont confiés ainsi que leurs engagements, et qui s’acquittent régulièrement de leurs prières salât ! »
Sourate 24, versets 32:
« Mariez les célibataires qui vivent parmi vous, ainsi que vos serviteurs vertueux des deux sexes. S’ils sont pauvres, Dieu pourvoira, par Sa grâce, à leurs besoins, car Il est Plein de largesses et Sa science n’a point de limite. »
Sourate 24, Verset 33:
« Ne forcez pas vos femmes esclaves à se prostituer pour vous procurer les biens de la vie de ce monde, alors qu’elles voudraient rester honnêtes.
Mais si quelqu’un les y contraignait […], Allah est celui qui pardonne, il est miséricordieux. »
Sourate 30, Verset 28:
« Il vous a proposé une parabole tirée de vous-même
Avez-vous, parmi vos esclaves, des associés
Qui partagent les biens que nous vous avons accordés
En sorte que vous soyez tous égaux ? Les craignez-vous comme vous vous craignez mutuellement ? »
Sourate 33, Verset 50:
« Ô Prophète ! Nous t’avons rendu licites les épouses à qui tu as donné leur dot, celles que tu as possédées légalement parmi les captives [esclaves]
Qu’Allah t’a destinées, les filles de tes oncles. […] »
Sourate 33, Verset 52 :
« Il ne t’est plus permis désormais de prendre d’autres femmes. Ni de changer d’épouses, même si leur beauté te plaît ; à l’exception des esclaves que tu possèdes. Et Allah observe toute chose.»
Sourate 58, Verset 3:
« Ceux qui comparent leurs femmes au dos de leurs mères puis reviennent sur ce qu’ils ont dit, doivent affranchir un esclave avant d’avoir aucun contact [conjugal] avec leur femme. C’est ce dont on vous exhorte. Et Allah est Parfaitement Connaisseur de ce que vous faites. »
Sourate 70, Verset 29-31 :
« A l’exception des hommes chastes, qui n’ont de rapports qu’avec leurs épouses et avec leurs esclaves, ils ne sont donc pas blâmables, tandis que ceux qui en convoitent d’autres sont transgresseurs. »
DANS L’ISLAM
LES HADITHS AUTORISENT AUX MUSULMANS D’AVOIR DES ESCLAVES
Musulman 32 :
« Le prophète a dit : Quand l’esclave s’enfuit loin de son maître, sa prière n’est pas acceptée ; il est un infidèle. »
Bukhari (80:753)
« Le prophète dit, « Les esclaves affranchis appartiennent aux gens qui les ont affranchis. »
Bukhari (52:255)
« L’esclave qui reconnait l’islam et continue à servir son maitre musulman recevra une double récompense au paradis. »
Bukhari (41.598)
« Les esclaves sont considérés comme des biens matériels. Ils ne peuvent pas être affranchis si leur propriétaire est endetté, mais plutôt utilisés pour payer ses créanciers. »
Bukhari (47.765)
« Une femme se fait réprimander par Mahomet pour avoir affranchi une fille esclave. Le prophète lui dit qu’elle aurait été mieux inspirée d’offrir l’esclave à un membre de sa famille car elle se serait vue accorder davantage de privilèges d’en l’au-delà. »
Bukhari (34:351)
« Mahomet vend un esclave. Il était donc un marchand d’esclave. »
Muslim 3901
« Mahomet échange deux esclaves noirs pour un esclave musulman. »
Muslim 4112
« À sa mort, un homme affranchit six esclaves, mais Mahomet annula cette décision et garda quatre esclaves pour lui. Il tira au sort pour déterminer les deux à libérer. »
Ibn Ishaq (734)
« Où une fille esclave est battue violemment par Ali en présence de Mahomet qui ne fait absolument rien pour l’en empêcher. »
L’ISLAM AUTORISE LA TROMPERIE, LA DISSIMULATION ET LE MENSONGE
Les arabo-musulmans d’aujourd’hui utilisent la dissimulation et l’omission pour donner l’impression que l’islam est une «religion de paix», ce qui est une fiction totale. La sourate 3:28 dit bien qu’un croyant «ne doit pas prendre pour alliés des infidèles» …à moins que ce soit pour «se protéger d’eux».
C’est une expression étrange, qui pourrait être ambiguë. Allons voir les commentateurs et ce que les musulmans en disent eux-mê
mes. Voyons Ibn Kathir, l’un des grands commentateurs du coran. Il est du XV° siècle, ses écrits sont toujours lus aujourd’hui, et publiés par des saoudiens.
Et il écrit : « La tromperie est autorisée quand les musulmans sont vulnérables ou en position de faiblesse. Ils peuvent tromper les infidèles, faire semblant d’être amis avec eux».
Et il cite la tradition : « Nous leur sourions par devant, mais par derrière, nous les maudissons..»
L’islam est une religion et un système politique qui dictent que l’on doit faire la guerre aux non-musulmans jusqu’à ce qu’ils se convertissent ou se soumettent. Et c’est ainsi que les terroristes de par le monde justifient leurs actes, et cette justification est basée sur des éléments centraux de la tradition islamique.
En conséquence il est très difficile pour des musulmans noirs modérés de se lever au sein de la communauté arabo-musulmane. Ils préfèrent répéter systématiquement que la violence, l’esclavage, les viols, la dissimulation et le mensonge ne font pas partie de l’islam. Ils prétendent même que l’islam est une religion de paix malgré les 1400 ans d’esclavage pratiqué par les musulmans. Ce n’est que par duperie qu’ils font cela, dans l’intention d’induire les noirs aliénés en erreur, en accord avec la doctrine islamique de la Taqqiya, le «mensonge pieux». Un musulman peut mentir et prétendre que l’islam prône la paix alors que c’est le contraire. Al Taqqiya signifie aussi «dissimulation préventive»; la Taqqiya est une pratique qui consiste à dissimuler son appartenance, ses véritables intentions et la vérité à un groupe qu’on méprise. La dissimulation peut être passive (en se cachant), ou aller jusqu’au stade actif (allant jusqu’à feindre les us et coutumes religieuses des adversaires comme un espion). Un musulman est autorisé à mentir pour se sauvegarder des représailles qui pourrait lui arriver ou pour manipuler les masses en fonction des intérêts politiques, économiques, sociaux ou religieuses de son groupe ethnique. Ainsi, un musulman peut donc mentir pour la cause de l’islam et des arabes, il peut mentir à sa femme, à ses amis et aux noirs qui ne connaissent pas la véritable origine des arabes. Un musulman peut mentir et tromper les non musulmans, afin de les convertir plus facilement et leur faire accepter les injustices les plus abominables. C’est cette morale tordue et satanique que les noirs arabisés suivent selon la sourate 33, verset 21, qui nous dit que le prophète des arabes un modèle à suivre.
Sourate 33, Verset 21:
« En effet, vous avez dans le Messager d’Allah un excellent modèle [à suivre], pour quiconque espère en Allah et au Jour dernier et invoque Allah fréquemment ».
Mahomet (prophète des arabes) utilisa a plusieurs reprises le mensonge pour tuer toutes les personnes qui ne pensaient pas comme lui, ce fut le cas du poète Ashraf. Il chargea quelqu’un de le tuer car les arabes considèrent que critiquer leur religion impérialiste est comme une offense envers leur dieu et leur prophète tel que le rapporte les Hadiths de Sahih Muslim, de Bukhari et d’autres.
? ibn Hisham, Conduite de l’envoyé d’Allah 548-553:
« Il partit et arriva à la Mecque (…) Là, Kab se mit à exciter les Mecquois contre l’apôtre d’Allah, à réciter des vers où il pleurait les “gens du Puits”:
La meule de Badr a broyé jusqu’au sang ces gens (…)
Combien d’hommes nobles et beaux, recours pour les pauvres, furent massacrés, généreux quand les étoiles ne donnaient pas de pluie, qui portaient les fardeaux de leurs frères…
Puis Kab retourna à Médine et là, il composa des poèmes licencieux sur des femmes musulmanes. (…)
Maslama dit:
-J’ai fait une promesse dont je ne sais pas si je veux la tenir ou non.
-Ton devoir est seulement de t’y employer.
-Apôtre d’Allah, nous aurons à dire des mensonges!
-Dites ce que vous voulez, ce sera licite ».
? Bukhari , Sahih 64/15:
« D’après Amir, qui l’avait entendu de Jabir ibn Abdallah, l’apôtre d’Allah ayant dit:
-Qui me délivrera de Kab ibn al Ashraf , cet homme qui nuit à Allah et à son envoyé?
Muhammad ibn Maslama se leva en disant:
-Ô Apôtre d’Allah, veux-tu que je le mette à mort?
-Oui, répliqua le prophète.
– Me permets-tu de lui dire quelque chose? demanda Muhammad.
-Dis-lui (ce que tu voudras), reprit le Prophète ».
? Muslim 1, Sahih 32-3359:
« D’après Jâbir ibn ‘Abdullâh, l’envoyé d’Allah a dit :
-« Qui me débarrassera de Kab ibn Al Ashraf qui a mal agi envers Allah et Son envoyé? ».
Muhammad ibn Maslama répondit :
-« Ô envoyé d’Allah, veux-tu que je le tue? ».
– « Certes oui », répliqua le prophète.
– « Permets-moi alors de médire de toi devant lui ».
– « Dis ce que tu voudras » ».
Ces récits sont une preuve que la sentence de celui qui critique les arabes et leur prophète, est la mort, même s’il s’agit d’une personne qui a quitté ce culte. Mahomet lui-même ordonna à sa bande de brigands de mentir selon la circonstance. Lorsque les mercenaires à qui il avait ordonné d’aller tuer quelqu’un lui dirent « Nous ne saurions pas le tuer si nous ne lui mentons pas », il leur répondit : « D’accord, c’est bon, mentez
».
? The Life of Muhammad, Abdullah Al-ARABY p. 367 :
—« l’Envoyé d’Allah a dit : Qui me débarrassera de Ka`b ibn Al-’Achraf (…) ?
Muhammad ibn Maslama frère des Bani Abdul-Ashal répondit : Ô Envoyé d’Allah je peux m’en occuper ; veux-tu que je le tue ?
Certes oui, si tu peux répliqua le Prophète.
Muhammad dit : Ô Envoyé de Dieu nous aurons à raconter des mensonges.
Il répondit : Dites ce que vous voulez, vous êtes libres en la matière. »
? Sahih al-Bukhari – Vol 1, Livre 3, Numéro 106, Rapporté par Ali:
« J’ai entendu le Prophète dire: ‘Qui dit ou raconte des mensonges contre moi, c’est n’est pas comme mentir ou dire des mensonges contre quelqu’un d’autre. Quiconque dit un mensonge contre moi intentionnellement certainement prendra place dans l’enfer. »
? Sahih Al-Bukhari Vol 7, Livre 67, Hadith 427 :
« Le Prophète a dit : Par Allah et s’il plaît à Allah ! Je ne ferai pas un serment et trouvant ensuite qu’il y a mieux à faire, sans que j’expie ce serment et fasse ce qu’il vaut mieux ».
? Sahih Al-Bukhari Vol 4 Livre 52, Hadith 269 :
« Le Prophète a dit : La guerre est tromperie ».
L’ESCLAVAGE DES NOIRS PAR LES NOIRS MUSULMANS
Pour se dédouaner, minimiser leur implication, déformer les faits, falsifier l’histoire et justifier leur barbarie endémique durant les razzias, les blancs et les arabes ont pris l’habitude de nier mutuellement allant même jusqu’à accuser systématiquement les noirs d’être eux même responsable de l’introduction de l’esclavage en Afrique noire.
Mais dès qu’on rentre dans leur jeu et qu’on leur demande d’apporter des preuves historiques attestant clairement que nos ancêtres pratiquaient déjà l’esclavage entre eux, avant l’arrivée des arabes au 7eme siècle. Ils font généralement diversion. La mystification étant toujours en cours, les noirs arabisés continuent de répéter une histoire partiellement falsifiée par les arabes. C’est pourtant sur ces noirs endoctrinés dès leur enfance que les arabes se sont toujours appuyés pour propager l’islam et soumettre d’autres noirs à « l’esclavage » pour le compte des arabes. Bien avant les européens, les arabes ont compris qu’en falsifiant l’histoire des peuples vaincus, ils programmaient des générations d’africains à suivre un dogme religieux qui empêche toute remise en cause des faits historiques. C’est la même méthode qu’ont appliqué les missionnaires blancs pour faire croire aux noirs que Dieu est blanc.
 
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