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vendredi 31 octobre 2014

Halloween pour le Club des 5 A


Ne soyez pas en retard Dans la forêt d'Entrechaux  la fête a commencé !

Chou blanc au safran

Chou blanc au safran (3 / 4 personnes)

« Saison de chasse amène gibier sur les bonnes tables »

http://www.or3r.fr

Pour accompagner un petit rôti de gibier, une perdrix, une belle poule faisane ou autre joyeuseté d'automne, pourquoi ne pas cuisiner un légume tout simple ?
Le chou blanc au safran sera parfait !

Ingrédients :

1 demi-cœur de chou blanc finement émincé
1 échalote
1 cuillère à soupe de fécule de p de t
10 pistils de safran
1 dl d'eau +1 dl de lait
1 filet d'huile d'olive
sel / poivre


Préparation :

La veille (ou au minimum, quatre heures avant la préparation du repas), faire infuser le safran dans un peu de lait tiède et réserver au frigo.


Émincer finement votre chou blanc
Émincer l'échalote et la faire fondre dans l'huile d'olive
Ajouter le chou blanc et le dl d'eau et laisser mijoter ¼ d'heure
Saler et poivrer
Allonger avec le dl de lait et continuer la cuisson à petit feu durant 10 minutes
Cinq minutes avant la fin de la cuisson, diluer la fécule dans un fond de lait et l'ajouter, bien mélanger et terminer la cuisson sans arrêter de tourner à la cuillère en bois.
A la dernière minute, ajouter le lait safrané et bien mélanger.
Laisser reposer cinq minutes avant de servir pour donner au safran le temps de bien diffuser dans le chou blanc.

L'idéal est de garder au chou un rien de consistance croquante




Pour Madame


Corps tiède de soie brune 
Regard de tendresse  
Ma chienne médite  


Jacques Arvicus Mais dites, Madame...Sous le poil blanchi de votre museau et de vos yeux enjôleurs, se cache un chaleureux mystère que seules vos oreilles parviennent encore à retenir.

Souvenirs d'enfance (33) Jeux d'antan (1ère partie)

Jeux d'antan




Regardé par transparence, le noir de notre palet se transformait en une teinte allant du mauve foncé dans les parties bombées au lilas plus clair dans les fines rainures. Ce jouet en verre était une merveille et c'était lui qui embellissait nos parties de marelle. Ce matin, sous le soleil printanier, abandonné négligemment sur la case du Paradis suite à une querelle enfantine, il brillait, solitaire, et attendait notre retour avec la patience de celui qui a déjà assisté à une multitude de disputes futiles.
Quelques minutes auparavant, ma sœur avait prétendu m'avoir vu toucher du pied droit l'une des lignes de la marelle incrustée dans la terre battue de notre cour. «Tu mens» avais-je répondu, colérique à mon habitude. Je savais qu'elle avait raison et ce fait augmentait ma colère. Elle, s'était obstinée : «Mais si, tu l'as touchée, tu as perdu, c'est à mon tour de jouer». Quant à ça, il n'en avait pas été question. J'avais voulu continuer à sautiller d'une case à l'autre, poussant le palet du pied et je n'aurais cédé pour rien au monde. Mon aînée avait alors voulu s'emparer du palet pour interrompre mon avancée et cela avait été la goutte qui faisait habituellement déborder le vase de nos relations sororales.
Poussée par ma mauvaise foi, j'avais tapé le palet d'un coup de pied rageur, l'avais envoyé valdinguer loin du quadrillage du jeu puis, la figure crispée par la bouderie , étais partie chercher notre petite balle rouge pour jouer seule à «la balle au mur». Mon aînée, adoptant l'attitude de celle qui possède tout son self-contrôle, était allée rechercher le jouet maltraité. Grande dame, elle l'avait déposé sur la cinquième case du jeu puis s'était dirigée vers le vieux tilleul. Avec la souplesse d'un chat sauvage, elle avait entrepris son escalade jusqu'aux plus hautes branches pour mieux dominer le monde du regard et prendre du recul par rapport à moi.
Jouer seule, j'en avais l'habitude mais, quand ma sœur se trouvait dans les environs, cela me pesait. Décidée à faire un premier pas, mine de rien, j'étais venue m'asseoir sur la balançoire installée sous le tilleul et, chantonnant une comptine, j'attendais maintenant que mon aînée daigne redescendre de sa cime privée.
Elle aussi pouvait faire preuve d'entêtement surtout quand elle savait que cela me faisait enrager. L'attente avait été longue. Finalement, l'arrêt du chant des tourterelles dans le tilleul et un faible frémissement du feuillage m'avait prévenue de sa venue condescendante. Nous allions enfin pouvoir recommencer à jouer.
Le palet fut repris, jeté dans la première case, poussé du pied et, après avoir marqué son temps d'arrêt au Paradis, avait terminé son voyage en sortant par le huitième rectangle sans la moindre anicroche. Vraiment, ma sœur était forte! Ce constat ne m'avait pas plu mais j'avais bien dû admettre la réalité du fait. 



(à suivre)

vendredi 24 octobre 2014

Passage de pique-niqueurs au bord du Toulourenc...

ou ...
... quand l'imbécillité des uns ne fait pas le bonheur des autres.









Et tout cela au même endroit ? vous demandez-vous.
Oui, tous ces déchets au même endroit, sur une merveilleuse petite île de galets facilement accessible par un chemin forestier....

Dans ce cas, on peut se dire que l'imbécillité de certains êtres humains n'est pas un dilemme étymologique mais bien une malfaisance chronique.

Lors de cette promenade, j'ai cru entendre un sanglier dire aux oiseaux : "Cela, c'est un vrai coup de cochon ! Pourquoi n'est-ce pas sur ces crétins-là que l'on tire ? Ils sont bien plus nombreux que nous et se reproduisent si vite ! Je l'affirme, à cochon, cochon et demi ! Tous ces pique-niqueurs finiront par transformer notre beau Toulourenc en une vraie soue à humains."


jeudi 23 octobre 2014

Puyméras


Coucher de soleil sur l'ancien cimetière

L'entrée du village

Festival des soupes de Vaison ou ... halloween...


... quels que soient les choix, les prévisions sont bonnes.



vendredi 17 octobre 2014

Safran et bizarreries de la nature

Une fleur, neuf pétales, cinq étamines, un pistil et cinq stigmates



Une fleur (ou deux fleurs issues d'une même tige ?), neuf pétales, cinq étamines, deux pistils et six stigmates


lundi 13 octobre 2014

Festival Ventoux Saveurs












L'or rouge des 3 rivières 
Pascal ARVICUS 
Producteur - récoltant de safran de Provence en stigmates 
et produits dérivés 
Le jas nègre 
84340 ENTRECHAUX 
FRANCE 
Siret : 750 508 400 00017 
Tél : +33 (0)6 15 81 21 01 
Mail : 
contacts@or3r.fr 
Web : 
http://www.or3r.fr 
Facebook : 
L'or rouge des 3 rivières 

dimanche 12 octobre 2014

Dans les vignes













Entre Drôme et Vaucluse, entre Villedieu et Mirabel-aux-Baronnies, un regard vers Nyons











De l'océan des vignes, émerge le château d'Entrechaux

Nouvelle floraison ... d'un prunellier

 9 octobre 2014
Sur les bords de l'Ouveze
...fin d'après-midi : 27 °
Un prunellier en fleur !


 


dimanche 5 octobre 2014

Sault : Fête des saveurs d'automne ...

Sault dans sa mosaïque de forêts

... En quelques photos





Ruchofruit présente sa large gamme de produits
toujours si appréciés !
http://www.ruchofruit.fr


Crédit photo : Danielle MOREAU
L'Or Rouge des 3 Rivières : les  incontournables
produits pour qui veut connaître la saveur
du véritable safran de Provence !

http://or3r.fr









Les Croquants de Velleron
 toujours présents !  
Un délice !
A savourer seul, en famille ou
entre amis !
Et vraiment, ce commentaire vient du fond
du coeur ou plutôt
du fond des papilles gustatives !

e-mail :  parodichinotto@virgilio.it

http://www.parodochinotto.it