Quand les bourgeons des amandiers pointent le bout du nez, les cœurs frémissent, les rêves s'habillent de tons nacrés et les pieds, dans leurs bottillons, s'irritent de ne pouvoir encore danser une gigue endiablée dans les herbes nouvelles pour bousculer les feuilles mortes.
10 février 2019 |
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