"Atticus avait raison. Il avait dit un jour qu'on ne connaissait vraiment un homme que lorsqu'on se mettait dans sa peau."
Édité pour la première fois il y a 60 ans, ce livre garde toute sa vigueur et toute sa générosité de sentiments.
Personne ne peut dire qu'il fut prémonitoire car depuis l'arrivée des esclaves noirs aux États-Unis, les discriminations raciales, bien qu'étant allées en s'atténuant, n'ont jamais disparu...
Malgré son âge, le texte est le reflet de ce que nous voyons se dérouler aujourd'hui : haine et peur de l'étranger, rejet de celui qui n'est pas passé dans notre moule occidental, discrédit des croyances différentes de celles qui sont inculquées dès l'enfance...
Il est incroyable de constater combien le texte correspond aux drames vécus actuellement dans le monde alors que l'on y voit des policiers étouffer, sans remords aucun, des citoyens à cause de couleurs de peau différentes ou de propos un peu violents.
Ce roman empli d'humour est un véritable et superbe plaidoyer pour l'égalité des hommes.
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Pour en savoir un peu plus sur la couleur de la peau...
Le Professeur Sarah Tishlokoff conclut qu’il y a “une telle diversité dans l’Afrique qui n’est pas toujours apprécié. Il n’y a donc aucune raison de parler de notion de race. La couleur de la peau sur le continent africain est extrêmement variable et est encore en train d’évoluer“. De plus, la plupart des variations génétiques liées à une peau claire proviennent de l’Afrique.
😂😂😂
Et pour terminer sur une note humoristique :
"Si Trump est orange c’est qu’il met de l’auto-bronzant"
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