Tout petit, si fragile, il reposait au bord de la route, tache de lumière dans les herbes rases.
Plus rien n'était à sauver, mort, il l'était bien.
On n'enterre pas les papillons... et pourtant, sans eux, c'est notre monde qui perd un peu de sa lumière.
Ne restait, me sembla-t-il, que quelques photos pour rendre un dernier hommage à cette beauté.
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