Cette fois, je suis arrivée trop tard.
Les neuf dixièmes des ophrys passionis avaient rendu l'âme, desséchés jusqu'à la moelle, des squelettes sur pied.
Et pourtant, ils étaient nombreux !
Triste, triste mais c'est ainsi.
Enfin, ils en restait deux ou trois qui présentaient encore une floraison "photographiable".
Un rendez-vous plus prometteur est donc remis à l'année prochaine.
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