Suave mari magno, turbantibus aequora ventis,
E terra magnum alterius spectare laborem,
Non quia vexari quemquam est jucunda voluptas.
Sed quibus ipse malis careas quia cernere suave est.
LUCRÈCE, Poème de la Nature, liv. II, vers 1)
Quand l’Océan s’irrite, agité par l’orage,
Il est doux, sans péril, d’observer du rivage
Les efforts douloureux des tremblants matelots
Luttant contre la mort sur le gouffre des flots ;
Et quoique à la pitié leur destin nous invite,
On jouit en secret des malheurs qu’on évite.
Traduction de M. DE PONGERVILLE
Lors de mon installation en France voici quinze ans, j'ai vécu à Sablet dans un petit immeuble de cinq appartements, au pied des Monts de Chevallong.
La vie y était parfois assez mouvementée, agréable cependant, pleine de découvertes des tempéraments humains mais, oui, très mouvementée.
Qu'à cela ne tienne, plus d'une fois, j'ai apprécié, à leur juste valeur, la vigueur du vocabulaire comme des comportements...
Alors j'ai tenté d'en résumer l'essentiel afin d'en garder un joyeux souvenir.
Eh oui ! c'était vraiment très joyeux comme atmosphère ...
J'ai aimé !
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