Ce restaurant est celui que je privilégie toujours lorsque je descends à Vaison pour m'offrir une petite gâterie hors du commun.
Un accueil chaleureux, un chef coq* toujours prêt à vous expliquer l'origine de ses plats et les ingrédients de ses préparations asiatiques qui vous font mourir de plaisir...
Des saveurs inconnues, des unions de douceur et de piquant qui vous étonneront, un visuel superbe ... Vraiment, on n'est pas loin de la perfection !
Les restos soi-disant asiatiques qui n'offrent que des produits décongelés peuvent aller se rhabiller.
Dans un restaurant, que vouloir de plus qu'être assassiné par l'explosion de ses papilles gustatives ?
En tout cas, ici, c'est certain, cela arrive lors de chacun de mes passages et je peux le dire, jamais je n'ai été déçue.
le plat de mon dernier passage |
Un décor peu ordinaire
Parfois, une exposition d'un(e) artiste à découvrir ajoute le plaisir visuel au plaisir gustatif.
Rien n'est trop beau pour satisfaire le client !
Où ? Où ? Où ?
Rue Raspail près de la place Monfort |
*Pourquoi l'appelle-t-on chef coq ?
Dans l'antiquité, les Latins avaient déjà un cuisinier appelé coquus (rien à voir avec le célèbre chef coq Paul Bocuse - Bocuus) et, au départ, c'était quelqu'un qui faisait du pain. Pour d'autres, cela viendrait aussi de queux (maître-queux) et du verbe cuire. Ce fut seulement à partir de l'année de Rome 568 que le métier de boulanger devint une profession distincte à Rome. Avant cette époque, chaque famille moulait sa farine et le cuisinier faisait et cuisait le pain. Le mageiros grec était aussi employé, à l'origine, à faire du pain pour la famille. Fermons ici la parenthèse.
C'est donc plutôt une allusion au terme kock, cuisinier, dans la marine anglaise du XVIIe siècle : parce qu'à bord du bateau, le chef coq (nous pouvons dire le ou la chef coq), c'était le p'tit gars préparant le repas pour l'équipage.
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