Accrochés aux murs, aux grillages, posés à même le sol, adossés à des arbres, sur les places ou dans les ruelles, les peintures, aquarelles, collages semblaient s'être démultipliés à l'infini.
Sous le soleil ou à l'ombre d'un vieux tilleul, bavarder avec les artistes présents apportait l'ultime touche de plaisir.
Et tout cela, dans le bruissement des cigales et le chant des oiseaux.
Que rêver de mieux pour une fin de semaine ensoleillée ?
L'aquarelliste me pardonnera d'avoir libéré ses tourterelles. C'est ce que l'on appelle "l'Art en Liberté". |
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