Elle est partout cette lutte pour la vie et, cet après-midi, j'en ai des preuves, une fois encore.
Dans ce premier cas, l'orchidée, sans petits bras pour se défendre ni petits pieds pour se sauver, va passer un mauvais quart d'heure.
Qui peut déjà dévorer les fleurs en formation ?
Il suffit d'écarter sa feuille protectrice de la toute belle pour découvrir un ravageur bien dodu.
Quelle est cette chenille ? Cela, c'est une autre question !...
Quelle est cette chenille ? Cela, c'est une autre question !...
Cent mètres plus loin.
Cette fois, ce qui attire le regard, ce sont ces grosses fourmis noires qui s'affairent sur les feuilles intérieures de la fleur. Des fourmis intéressées par une orchidée... qu'es aquò ?
Pour en avoir le cœur net, une fois encore, j’entrouvre les feuilles tendres en toute indiscrétion.
Ah ! Ah ! Voilà un sérieux problème pour la plante : une véritable colonie de pucerons bien installés à l'abri de l'enveloppe verte.
En fait, les fourmis ne sont pas là pour l'orchidée mais pour cet excellent garde-manger que représente le miellat des pucerons. Copains comme pucerons somme toute !
SUPER ! (mais qui n'a rien à voir avec les orchidées)
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