samedi 6 mars 2021

Déchets dans la nature ...

 

 

 

Une idée déjà largement répandue mais pourquoi ne pas la relancer de temps à autre ?

Et si, lors d'une sortie, balade, promenade, rando....chacun d'entre nous ramenait deux déchets ? 


N'allez pas croire à un vol de clôture ! Coupée en morceaux, elle était abandonnée dans les feuilles mortes au bord de la piste...



  Deux, multipliés par le nombre de marcheurs, multipliés par le nombre de sorties ...etc, etc...Ce serait déjà mieux que rien, non ? 

Avec installation de poubelles à l'entrée ou à la sortie des chemins balisés.

Un petit geste pour l'homme, un grand geste pour la nature.

 

 A savoir que ceci reste sur place tout comme les crottes*...


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bien entendu, il y a des abandons contre lesquels un simple promeneur se trouve dans l'impossibilité d'intervenir.

Parfois alors, la montagne se transforme en terrain d'épaviste...


Un peu avant, un gros pneu que j'ai oublié de photographier...



 

 

 

 

 

La digression du jour 

* Je n'arrive jamais à comprendre pourquoi certaines personnes éprouvent un tel plaisir à laisser leurs excréments aux yeux de tous, peu importe la consistance d'ailleurs...

Cette attitude relève d'un manque total de savoir-vivre  vis-à-vis des cerfs, biches, sangliers, renards, musaraignes, serpents ou même limaces et autres.

Il y a aussi ces papiers hygiéniques d'un rose à faire ch.......... vraiment !

Deux ou trois pierres et quelques feuilles mortes et le passage reste discret. 

Et pour philosopher quelques instants, un constat :  combien nombreux, lorsqu'ils se promènent, sont les êtres humains qui possèdent une âme scatologique. A ceux-là, je conseille une technique visuellement imparable, mise au point par l'un de mes anciens chiens (tant qu'à faire...) : le poirier contre un tronc pour élever son soulagement**.  (Pour mieux comprendre, Sven reculait jusqu'au tronc puis commençait à y faire grimper ses pattes arrière jusqu'à frôler la rupture de l'équilibre... je vous laisse imaginer la scène.)

 

 

** Sven (mon chien) fut guéri de cette habitude le jour où, n'ayant pas pris garde à l'environnement, il éleva son anus à hauteur d'un houx qui poussait contre le tronc choisi. Il se fit piquer dans cette partie si tendre. Se croyant attaqué par l'arrière, Sven fit immédiatement demi-tour en aboyant pour faire  face à un ennemi qu'il ne parvint pas à situer, comme de juste....  

 


 

 

 

     

     

     

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