Rien qu'un souvenir : un matin, alors que j'habitais dans la banlieue de Cologne, je fus réveillée par les cris de ces oiseaux qui avaient envahi les platanes du jardin, des basses branches aux sommets. Une pagaille invraisemblable. Je me serais crue dans une forêt équatoriale. Les arbres étaient verts de feuilles tout autant que de perruches. Elles venaient d'émigrer pour quelques heures du centre ville vers la banlieue de Weiden.
Quel cadeau ! Un moment de pur émerveillement !
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