Et revoilà les copines de l'automne.
Cette fois, j'ai eu la chance de les rencontrer alors qu'elles transportaient leur oothèque.
Je ne sais s'il s'agit d'un hasard mais chaque fois, l'oothèque était trouée et, pour l'une, laissait bien voir les oeufs.
Le camouflage était parfait : parmi les petites pierres blanches de la safraneraie, l'oothèque ressemblait, à s'y méprendre, à une pierre parmi les autres.
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