Je suis arrivée trop tard : le massacre des innocentes venait d'avoir lieu.
Que pouvais-je faire d'autre que de leur dire combien j'aurais aimé les rencontrer la veille et passer un bout de temps avec elles alors qu'elles respiraient le bonheur.
Ce n'est pas un adieu définitif : l'année prochaine me verra au rendez-vous un peu plus tôt.
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